L’association Innovations Environnement et Développement Durable (IE2D (Ex. APTE), créée en 2005 en tant qu’association d’intérêt public et à but non lucratif, regroupe des scientifiques œuvrant pour le développement durable à travers des actions sur l’assainissement, la pêche, le tourisme et l’environnement. Elle est officiellement reconnue par le Ministère de l’Intérieur et des Collectivités Locales sous le récépissé n° 12701/MINT.CL/DAGAT/DEL/AS du 05 janvier 2007. Pour soutenir les politiques et programmes de développement socio-économique et de conservation de l’environnement, IE2D se donne pour mission le soutien aux groupes et communautés les plus défavorisés, le soutien aux dynamiques participatives de développement local intégré, le développement des connaissances et des capacités, l’appui à l’émergence et à l’autonomisation des différents acteurs locaux, la préservation de la nature et de la biodiversité associée, la lutte contre la pauvreté et la création de richesse.
Qui sommes-nous?
Les objectifs
– Contribuer au développement durable des Etats africains, des collectivités, des populations et organisations locales ;
– Appuyer les Etats africains dans la mise en oeuvre des Objectifs de Développement Durable (ODD) ;
– Contribuer à la gestion intégrée et durable des régions marines et côtières, des Aires Protégées (y compris les Aires Marines Protégées), des zones humides, arides et semi-arides en Afrique ;
– Contribuer à la gestion des ressources naturelles et de l’environnement en Afrique ;
– Renforcer les capacités de résilience des communautés et des populations africaines face aux effets des changements climatiques ;
– Renforcer les capacités institutionnelles, techniques et opérationnelles des collectivités locales, des communautés et des organisations en matière de développement durable en Afrique.
Nos actions
Dans le cadre de ce projet pilote financé par le PPI FFEM, IE2D a obtenu d’importants résultats notamment :
- La définition des règles de gestion communautaire ;
- La mise en place d’un parc ostréicole pour réduire la forte pression sur les huîtres et sur la mangrove ;
- Le repeuplement et le repos biologique des arches ;
- Le suivi bioécologique des coquillages et des paramètres environnementaux par les chercheurs de l’Institut de Pêche et d’Aquaculture (IUPA) et les femmes collectrices
- La promotion de la collecte sélective ;
- La mise sur pied d’une unité moderne traitement et de transformation des coquillages ;
- Le renforcement des capacités des femmes transformatrices en matière d’hygiène, de qualité et de conditionnement des produits transformés ;
- Le développement de nouveaux produits notamment la marinade de coquillages.